mercredi 3 octobre 2012
Par l’ouverture d’O qui sait
Du haut Du haut / descendre les marches pour du haut descendre les marches c’est
Marcher pour descendre descendre en marchant en répétant la descente du haut des marches
En articulant avaler les mètres les sons ceux de la marche du haut puis descendre
Des cendres d’eau d’os du haut des cendres mâche marche du O et passer par là
Par l’ouverture d’O qui sait
Des marches le son des cendres par l’O et l’eau d’O pour du haut descendre et recomposer la marche
Vers l’eau cendre du haut des marches de l’eau d’O sait
Cendre ouverte eau c’est eau c’est eau c’est
lundi 1 octobre 2012
Bruits nuits nuées
La volonté contre ce qui échappe
Du soleil à la pluie à l’humide empreinte
Puisque le sang le jeu fait reculer la crainte
Laisse-toi à ce qui échappe
Champ miné des entrailles
Piquées au feu file
L’oiseau hoquette sautille
Mes pas de poussière dans la ville
Le soir je retrouve une maison
Des masque des ailes
Un moment je me lève
Sors d’un trou d’odeurs de sons
D’un paysage mâché
Nu sur le plancher
Ma main veut saisir debout
La presque physionomie d’un tout
Le soleil décline
Le parcours se fait courbe
Levez bataillon levez insectes
Lancez vos infernales usines
Déjà ma tempe ils bectent
Mon corps à la tourbe
Souffle des voix
Lève les corps étrangers
Bruits nuits nuées
Du soleil à la pluie à l’humide empreinte
Puisque le sang le jeu fait reculer la crainte
Laisse-toi à ce qui échappe
Champ miné des entrailles
Piquées au feu file
L’oiseau hoquette sautille
Mes pas de poussière dans la ville
Le soir je retrouve une maison
Des masque des ailes
Un moment je me lève
Sors d’un trou d’odeurs de sons
D’un paysage mâché
Nu sur le plancher
Ma main veut saisir debout
La presque physionomie d’un tout
Le soleil décline
Le parcours se fait courbe
Levez bataillon levez insectes
Lancez vos infernales usines
Déjà ma tempe ils bectent
Mon corps à la tourbe
Souffle des voix
Lève les corps étrangers
Bruits nuits nuées
samedi 29 septembre 2012
Nous sommes vendredi
Les lumières ont coulé
Et les machines tournées
Comme un peu de salive
Sur des lèvres maladives
Deux jours ne suffiront pas
Pour partir aux Maldives
Plutôt rester là
Il est même peu probable
Qu’on se dégagera des heures
Sans doute une petite peur
Et un numéro de portable
Nous sommes vendredi
Un jour a mangé l’autre
Et déjà on se dit
Qu’une semaine en vaut une autre
Et les machines tournées
Comme un peu de salive
Sur des lèvres maladives
Deux jours ne suffiront pas
Pour partir aux Maldives
Plutôt rester là
Il est même peu probable
Qu’on se dégagera des heures
Sans doute une petite peur
Et un numéro de portable
Nous sommes vendredi
Un jour a mangé l’autre
Et déjà on se dit
Qu’une semaine en vaut une autre
Je descends à Foch
Aux lueurs de la salle de bain
Je me prends la tête en main
Sur la peau un peu de graisse
Après m’être lavé les fesses
Sous les fuseaux horaires
On se règle pour le jour temporaire
Le défilé commence
Chacun rentre sa vengeance
Pourtant des choses échappent
Ce corps incontrôlable
Avec ses gestes improbables
Et le crâne comme une chape
Je remonte un peu mon pantalon
Une jeune femme appuie sur le bouton
Mon arrêt est proche
Je descends à Foch
Je me prends la tête en main
Sur la peau un peu de graisse
Après m’être lavé les fesses
Sous les fuseaux horaires
On se règle pour le jour temporaire
Le défilé commence
Chacun rentre sa vengeance
Pourtant des choses échappent
Ce corps incontrôlable
Avec ses gestes improbables
Et le crâne comme une chape
Je remonte un peu mon pantalon
Une jeune femme appuie sur le bouton
Mon arrêt est proche
Je descends à Foch
Des exercices opératoires la nuit
Des exercices opératoires la nuit
A la lecture d’ouvrages pertinents
Le rêve à un goût d’achevé
Le cerveau est un liquide blanc
Passe une chanson
Pas de pardon
La nuit lentement
Dans les parcs les rues
Les vêtements collés
Des corps fatigués
De joggeurs aux jambes nues
Pas vraiment d’odeurs
A peine un liséré rose
Au coucher de soleil
Et dans des yeux une fureur
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