tag:blogger.com,1999:blog-8531725923829182992024-02-19T23:13:05.590-08:00automatonstéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.comBlogger10125tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-43075378642399025452013-02-01T07:50:00.001-08:002013-02-01T07:50:25.740-08:00Air chaud saturé de vapeurs<br />
<br />
<br />
Air d’eau froide<br />
<br />
Air saturé en eau du corps froid<br />
<br />
Eau de vapeur saturée à la surface du corps<br />
<br />
Surface d’un miroir d’eau<br />
<br />
Vapeur d’eau<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
De l’air<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Gouttelettes du soir sur des corps à l’air<br />
<br />
Vapeur d’eau dans l’air<br />
<br />
Le corps froid de la vapeur d’eau<br />
<br />
Sur les végétaux la vapeur d’eau se dépose comme gelée<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Blanche rosée<br />
<br />
Gelée blanche<br />
<br />
<br />
<br />
Eau d’une nuit par absence de vent<br />
<br />
Air humide près du sol<br />
<br />
Humidité de l’air sans nuage où la vapeur d’eau dans l’air<br />
<br />
La rosée vers les racines<br />
<br />
Les racines à partir de la terre<br />
<br />
La rosée des ondes avec de la poussière<br />
<br />
La rosée qui perle<br />
<br />
<br />
<br />
Respirer vers le ciel dans les endroits faibles<br />
<br />
<br />
<br />
Gelée blanche dans l’air d’eau gelée<br />
<br />
Rosée blanche à geler<br />
<br />
Gouttes de rosée à geler<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Les objets clairs par une nuit de gelée blanche vers les vents près du sol et plus bas<br />
<br />
La vapeur d’eau continue à descendre<br />
<br />
L’air plus dense sous le vent plus calme<br />
<br />
L’air froid dense avant les zones en hauteur<br />
<br />
<br />
<br />
Passage rapide par temps venteux<br />
<br />
La buée naît et croît isolée des défauts<br />
<br />
La buée s’organise en liquide de rayons de gouttes<br />
<br />
L’eau dans la goutte déjà formée du temps<br />
<br />
Le rayon de la goutte comme racine du temps<br />
<br />
<br />
<br />
Deux gouttes avant de fusionner<br />
<br />
<br />
<br />
Un équilibre grâce à l’apport de vapeur d’eau<br />
<br />
A la fin les gouttes finissent par glisser en libérant des/<br />
<br />
<br />
<br />
( Ces étapes peuvent être modifiées) : (réseaux)<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
(Bruit d’avalanche)<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Les gouttes apparaissent et viennent des tensions, des forces de tensions, plus légères que l’eau soumise à la force des tensions, une force en inverse dans le creux d’une goutte, un réseau presque fondu présentant de nombreux trous ( traverse la surface qui creuse, perçage de la fixation des trous et puis des instruments en vent). Il reste encore certains mécanismes qui président à la vapeur. Une question est de savoir mettre au point un modèle, une bonne compréhension. <br />
<br />
A l’inverse, la rosée comme un instrument.<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-14896950074439882013-01-31T06:51:00.001-08:002013-01-31T06:51:47.736-08:00CrâneLe rythme du sommeil circulant dans le sang a soumis les cellules de l’organisme circulant dans le rythme. S’élève dans le sang le rythme de l’ensommeillé par la nuit et d’autres heures issues des cellules. Depuis le sommeil une heure baisse par nuit générale, par la nuit de l’heure. Toujours l’heure circulant dans le sommeil comme un venin, par petits fragments de respiration calme. Respiration, risque de démence rythmée par le sommeil du sang. Aussi les muscles sur la peau entraînent les organes vers le cœur et le cerveau par le rythme de la veille, anomalie des heures qui se massent dans les os. <br />
<br />
<br />
Une mâchoire a retrouvé son crâne.<br />
<br />
Un crâne travaillé par des ouvriers, travaillé par la parole d’un singe au présent de la parole, au présent de l’usure. Un crâne retrouvé dans le sommeil apporté par le singe : une poignée d’heures sous un crâne garde pour lui son sommeil rongé. Entre des lèvres un moment intime. La force du rythme, l’essence de l’eau, le sommeil filandreux, le mot liquide.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-44621830221151964892013-01-31T06:06:00.001-08:002013-01-31T06:06:06.981-08:00DanseMouvements dansés sans finalité, neutres, à la lettre des mots. Un danseur danse sur la danse ou sur le désir dans le corps par la danse. Un danseur danse déjà là. Le sens est là, tout autour, la danse en train de se faire où je vis, cette chose-là : le mouvement dansé en tout sens comme par des mots. Danse prête à extraire le mouvement du geste par où passe le corps différemment. Se répète une nouvelle séquence, les jambes à partir du mouvement créant formes. Au fur et à mesure pèsent les foyers intenses, modulant la force. Une danse au début une danse de trajets, de bouts de mouvements. Gestes dans un temps intégré par le corps qu’il transforme en une même fin. Loin plus vaste des séries de mouvements agencés. Gestes et paroles, les mots et les phrases, les mouvements et les mouvements modulent la ligne. La danse est la danse, quelque chose qui n’est découpé dans le mouvements des unités, glissements et chevauchements à la frontière. D’autres os que ceux du langage à la manière du parle. Le corps peut se remplir, absent, avec des outils comme saturer son corps de sens. Mouvements à la confusion, un pas en avant, d’avancer une jambe. Claire posture à interroger, les attendus dans les corps. La danse, très tôt, la danse éveillée commence à se déchirer, remonte vers la source, retient quelque chose qui fait. Le mouvement va tracer un danseur en force. Le danseur déploie le tremblement imprévisible, lisible qui préserve quelque chose dans l’équilibre des masses. Poussées au hasard, regards dans l’espace. Des pieds, des épaules, des hanches, des visages, des bustes, les lignes au point de contrainte viennent du fond pour le danseur. Prendre un centre passe par la tête. En bout accélérer la danse ouverte, la flèche. Les courants comme une pleine mesure. Danseur dans le travail qui débusque. Moyens sur les forces qui comptent. <br />
<br />
<br />
Une ouverture sèche, une fenêtre dans le vide et ombres. La danse, s’en extraire. Coquille vide qui ne sait rien mâche ses mots. Les danseurs signent le fond, ont le visage en papier blanc et bougent quand chaque geste peut articuler quelque chose. Houle du parcours vers l’accès et manque, qu’il ne reste que quelques miettes. La matière distribue le relais pour revenir étrange, ni homme ni paysage, avec la solitude de ce qui signe. Avant que ne vienne le manque, tourner sur soi comme danseur autour de la danse. Sentir se faire retourner par l’attente du manque, par l’ouverture de derrière retournée, de derrière l’enlèvement comme un rapt en danse. Se faire retourner par l’attente, par le manque. Enlever le souffle situé derrière et mettre du noir dans le tout et le tout en bas. Serrer. Vérifier la justesse du quotidien.<br />
<br />
L’épaisseur déroule un nom pour fabriquer un passage. Dérive du temps, état oscillatoire, les organes pilonnés par le système du danseur. Un danseur peut s’infiltrer dans la masse qui fait masse autour de lui sans rien dire, le cœur comme un couvercle. Le danseur peut rythmé même si le danseur peut faire le rythme.<br />
<br />
Le danseur en sommeil danse comme une bûche en bouche laisse l’air autour qui fait masse<br />
<br />
<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-12672180589934151572013-01-30T07:48:00.001-08:002013-01-30T07:48:13.642-08:00Toute choseToute chose se divise. Celle, humaine, serait fabriquée, ramassée tel un coquillage posé sous le nom. Une extraction.<br />
<br />
<br />
Le langage rechigne, le langage court des opérations, éléments d’outillage.<br />
<br />
La tour de la langue se divise en objets techniques qui disparaissent dans leurs fonctions.<br />
<br />
La langue de l’objet crée l’objet en question capable de fonctions.<br />
<br />
Produire une chaleur, savoir faire de la lumière.<br />
<br />
Usage du langage.<br />
<br />
Une réalité réalisera des actions par la fonction d’usage comme l’action de récupérer de la chaleur : chaleur du moteur de langue, chaleur d’un véhicule, chaleur d’un bruit, chaleur d’un rendement, chaleur du déchet pour se doter d’un certain nombre de fonctions.<br />
<br />
Une chaîne de fonctions d’usage subdivisées en sous-ensembles fonctionnels, sous-ensembles constitutifs de la partie mise en œuvre pour la réalisation de l’ensemble.<br />
<br />
Tout peut être dilué dans un nombre et une suite d’opérations pourra définir des fonctions, des outils, un cycle opératoire.<br />
<br />
Les fonctions d’usage. La fonction donnée.<br />
<br />
Un objet agit.<br />
<br />
Cou, pied, ongle, cheveux, langue à feu, langue à peu, langue du débat, langue de broiement.<br />
<br />
L’ampleur de la durée d’un mot et de sa vitesse, la force de son coup. Un mot improvisé comme une action en mettant une main par-dessus lui.<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-78689635574282470642013-01-18T05:14:00.001-08:002013-01-18T05:14:41.321-08:00FonteCiel monte à l’éclat ciel du blanc<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Banc nappe ou nuage le ciel autour de la lune grise blanche de galet<br />
<br />
<br />
<br />
Nappe ou couche grise bleue ciel de nuages <br />
<br />
Ciel de couvre les nuages du ciel les nuages tiennent dans le ciel <br />
<br />
<br />
<br />
et le ciel mince<br />
<br />
<br />
<br />
Halo de pluie neige <br />
<br />
<br />
<br />
neige en forme de virgule terminée vers le haut par un crochet ou par un flocon dans le ciel en direction nuage dans le ciel petite tour à ces nuages crénelés nuages en des régions sans relief lambeaux flots sous le ciel qui tient les nuages voile transparent lisse autour de la lune mince de blanc éclat par bancs nappes couches entièrement le ciel pour laisser voir le soleil au travers de la glace couche de soleil aux nuages bas soudés à lui ciel fibreux tendu par la neige roulée<br />
<br />
Nuages dans ses blancs<br />
<br />
En dessous de ce nuage un ciel craque les éléments sont un gâteau de miel à l’horizon lorsque entièrement le ciel tombe dans un trou <br />
<br />
le soleil la lune le bleu et des nuages au-dessous <br />
<br />
Nuages en bans étendus nappes ou couches du soleil ou de la lune les nuages vites dans le ciel d’enclume traînées de pluie n’atteignant pas le sol<br />
<br />
Neige de glace ramifiée de structures ouvertes l’atmosphère tombe à terre<br />
<br />
Sol structure<br />
<br />
Sol structure s’infiltre variations des tombées du ciel au sol des plaines et dans une bouche où la neige se forme<br />
<br />
Dent d’altitude la friction près du sol que le crâne coupe au vent va briser le rapport entre les masses<br />
<br />
<br />
<br />
Flocons d’air écarts dispersés à hauteur de neige<br />
<br />
<br />
<br />
Ciel à hauteur d’eau libre lenteur au sol atteinte la faiblesse d’eau comme d’un pied instable cette vive sensibilité des mouvements d’air dans une bouche<br />
<br />
Monte ciel en couche<br />
<br />
Se fondre<br />
<br />
Se sublimer<br />
<br />
Se combiner<br />
<br />
La neige sous un nuage<br />
<br />
Disparition progressive liquéfiée la brutale froide limite<br />
<br />
Neige subite très faible poudrerie des dunes au sein faible<br />
<br />
La direction privilégiée du bas vers le haut tombe le grain d’un visage lorsqu’un flux de vapeur au sein de la couche très fort<br />
<br />
Eau liquide du cœur<br />
<br />
Chute de pluie prolongée donne la fonte d’un corps sur des sols inégaux<br />
<br />
Blanc pur des rayons lumineux les forêts et de la lumière dans les branches l’eau de neige<br />
<br />
L’allongement à l’horizontale dans tous les sens<br />
<br />
Sel vers les eaux profondes une éphémère émerge de l’eau dans l’absence le sommeil <br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-212206498186991872012-10-03T01:11:00.001-07:002012-10-03T01:11:21.459-07:00Par l’ouverture d’O qui sait <br />
<br />
Du haut Du haut / descendre les marches pour du haut descendre les marches c’est<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Marcher pour descendre descendre en marchant en répétant la descente du haut des marches<br />
<br />
<br />
<br />
En articulant avaler les mètres les sons ceux de la marche du haut puis descendre<br />
<br />
<br />
<br />
Des cendres d’eau d’os du haut des cendres mâche marche du O et passer par là<br />
<br />
<br />
<br />
Par l’ouverture d’O qui sait <br />
<br />
<br />
<br />
Des marches le son des cendres par l’O et l’eau d’O pour du haut descendre et recomposer la marche<br />
<br />
<br />
<br />
Vers l’eau cendre du haut des marches de l’eau d’O sait<br />
<br />
<br />
<br />
Cendre ouverte eau c’est eau c’est eau c’est<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-49609499578273904762012-10-01T23:58:00.000-07:002012-10-02T00:03:22.472-07:00Bruits nuits nuéesLa volonté contre ce qui échappe<br />
Du soleil à la pluie à l’humide empreinte<br />
Puisque le sang le jeu fait reculer la crainte<br />
Laisse-toi à ce qui échappe<br />
<br />
<br />
<br />
Champ miné des entrailles<br />
Piquées au feu file<br />
L’oiseau hoquette sautille<br />
Mes pas de poussière dans la ville<br />
<br />
<br />
<br />
Le soir je retrouve une maison<br />
Des masque des ailes<br />
Un moment je me lève<br />
Sors d’un trou d’odeurs de sons<br />
<br />
<br />
D’un paysage mâché<br />
Nu sur le plancher<br />
Ma main veut saisir debout<br />
La presque physionomie d’un tout<br />
<br />
<br />
<br />
Le soleil décline<br />
Le parcours se fait courbe<br />
Levez bataillon levez insectes<br />
Lancez vos infernales usines<br />
Déjà ma tempe ils bectent<br />
Mon corps à la tourbe<br />
<br />
<br />
<br />
Souffle des voix<br />
<br />
Lève les corps étrangers<br />
<br />
Bruits nuits nuées<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-70886640523303006462012-09-29T02:23:00.001-07:002012-09-29T02:23:54.937-07:00Nous sommes vendrediLes lumières ont coulé<br />
Et les machines tournées<br />
Comme un peu de salive<br />
Sur des lèvres maladives<br />
<br />
<br />
<br />
Deux jours ne suffiront pas<br />
Pour partir aux Maldives<br />
Plutôt rester là<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Il est même peu probable<br />
Qu’on se dégagera des heures<br />
Sans doute une petite peur<br />
Et un numéro de portable<br />
<br />
<br />
<br />
Nous sommes vendredi<br />
Un jour a mangé l’autre<br />
Et déjà on se dit<br />
Qu’une semaine en vaut une autre<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-34840717701421343622012-09-29T02:01:00.003-07:002012-09-29T02:02:23.871-07:00Je descends à FochAux lueurs de la salle de bain<br />
Je me prends la tête en main<br />
Sur la peau un peu de graisse<br />
Après m’être lavé les fesses<br />
<br />
<br />
<br />
Sous les fuseaux horaires<br />
On se règle pour le jour temporaire<br />
Le défilé commence<br />
Chacun rentre sa vengeance<br />
<br />
<br />
<br />
Pourtant des choses échappent<br />
Ce corps incontrôlable<br />
Avec ses gestes improbables<br />
Et le crâne comme une chape<br />
<br />
<br />
<br />
Je remonte un peu mon pantalon<br />
Une jeune femme appuie sur le bouton<br />
Mon arrêt est proche<br />
Je descends à Foch<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-853172592382918299.post-73232091996711271552012-09-29T01:59:00.001-07:002012-09-29T01:59:17.357-07:00Des exercices opératoires la nuit<br />
Des exercices opératoires la nuit<br />
A la lecture d’ouvrages pertinents<br />
Le rêve à un goût d’achevé<br />
<br />
<br />
<br />
Le cerveau est un liquide blanc<br />
Passe une chanson<br />
Pas de pardon<br />
La nuit lentement<br />
<br />
<br />
<br />
Dans les parcs les rues<br />
Les vêtements collés<br />
Des corps fatigués<br />
De joggeurs aux jambes nues<br />
<br />
<br />
<br />
Pas vraiment d’odeurs<br />
A peine un liséré rose<br />
Au coucher de soleil<br />
Et dans des yeux une fureur<br />
<br />
<br />stéphane dusselhttp://www.blogger.com/profile/12747284919709124476noreply@blogger.com0