La volonté contre ce qui échappe
Du soleil à la pluie à l’humide empreinte
Puisque le sang le jeu fait reculer la crainte
Laisse-toi à ce qui échappe
Champ miné des entrailles
Piquées au feu file
L’oiseau hoquette sautille
Mes pas de poussière dans la ville
Le soir je retrouve une maison
Des masque des ailes
Un moment je me lève
Sors d’un trou d’odeurs de sons
D’un paysage mâché
Nu sur le plancher
Ma main veut saisir debout
La presque physionomie d’un tout
Le soleil décline
Le parcours se fait courbe
Levez bataillon levez insectes
Lancez vos infernales usines
Déjà ma tempe ils bectent
Mon corps à la tourbe
Souffle des voix
Lève les corps étrangers
Bruits nuits nuées
lundi 1 octobre 2012
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