jeudi 31 janvier 2013

Crâne

Le rythme du sommeil circulant dans le sang a soumis les cellules de l’organisme circulant dans le rythme. S’élève dans le sang le rythme de l’ensommeillé par la nuit et d’autres heures issues des cellules. Depuis le sommeil une heure baisse par nuit générale, par la nuit de l’heure. Toujours l’heure circulant dans le sommeil comme un venin, par petits fragments de respiration calme. Respiration, risque de démence rythmée par le sommeil du sang. Aussi les muscles sur la peau entraînent les organes vers le cœur et le cerveau par le rythme de la veille, anomalie des heures qui se massent dans les os.


Une mâchoire a retrouvé son crâne.

Un crâne travaillé par des ouvriers, travaillé par la parole d’un singe au présent de la parole, au présent de l’usure. Un crâne retrouvé dans le sommeil apporté par le singe : une poignée d’heures sous un crâne garde pour lui son sommeil rongé. Entre des lèvres un moment intime. La force du rythme, l’essence de l’eau, le sommeil filandreux, le mot liquide.





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